Voici les cibles

Qui sont donc les cibles de la ville nouvelle Akwaba City ? Qui sont les personnes physiques et morales qui sont invitées à prendre attache avec les promoteurs de ce projet afin d’y investir ? Ces questions affluent depuis quelques mois par tous les canaux. Voici la réponse.

Le projet de la ville nouvelle Akwaba City, prévu pour être réalisé sur une superficie de 60.000 hectares, vise des cibles bien définies, scindées en deux grands groupes. A savoir : Les cibles internationales et les cibles nationales. Au plan international, ce sont : Les opérateurs économiques internationaux, les grandes entreprises de BTP, les grands promoteurs immobiliers, les grandes compagnies de service (télécommunication, transport, gaz, énergie, eau, déchet, distribution et autres), les banques de développement, les Chambre de commerce et d’industrie de tous les pays du monde, les investisseurs étrangers, les fonds de souverains, les fonds de retraite, les pays de l’inter lande.



Au plan national les cibles sont : Les membres de la chambre de commerce et d’industrie, les grandes entreprises commerciales, les banques et établissements financiers, les ambassades des pays en Côte d’Ivoire, les membres de la chambre d’agriculture, les investisseurs nationaux, les grandes compagnies de BTP, les banques de développement, les grandes compagnies de service (télécommunication, transport, gaz, énergie, eau, déchet, distribution et autres), l’Etat de Côte d’Ivoire. A propos des cibles, Touré Ahmed Bouah, PDG de SOPHIA SA, promoteur principal d’Akwaba City, traduit mieux ces choix : « Nous ne sommes pas promoteur immobilier en tant que tel. Nous sommes des aménageurs. Pour les aménagements que nous réalisons, nous investissons. Par contre, des sociétés qui sont dans le secteur du Bâtiment et des Travaux Publics (BTP) font de la promotion immobilière et elles vendent les maisons.



Ou leurs responsables viabilisent les terrains et ils vendent les terrains. Nous, à SOPHIA, nous viabilisons l’espace sous forme d’une ville commune, et nous-mêmes en partenariat avec d’autres acteurs du monde économique, nous mettons en valeur l’espace que nous avons aménagé. Mais ce que nous réalisons ce sont des infrastructures », précise l’initiateur du projet.En gros, ce sont des personnes morales ou physiques de fortes carrures financières qui sont visées pour la mise en œuvre de ce projet.


ADOLPHE KOUILAHAN