3 question à /  Guindo Dogolou (chef de cabinet du PDG de SOPHIA SA) parle d’Akwaba City

3 question à / Guindo Dogolou (chef de cabinet du PDG de SOPHIA SA) parle d’Akwaba City

Guido Dogolou est le chef de cabinet du PDG de SOPHIA SA, Touré Ahmed Bouah. Il a représenté son patron, initiateur du grandissime projet d’Akwaba City la ville nouvelle, à la cérémonie de remise de prix aux meilleurs acteurs du développement et de l’émergence de Côte d’Ivoire (PRIMADEM CI 2022) déroulée le samedi 19 février 2022 à la Caistab à Abidjan Plateau. Il donne dans cet entretien, son avis sur les enjeux des distinctions reçues et sur le projet Akwaba City. 

Vous avez participé à la soirée de distinction organisée par le groupe SAFAM COM, à la Caistab à Abidjan le samedi 19 février 2022, soirée au cours de laquelle vous avez représenté le PDG de SOPHIA SA, quels sentiments vous animent ? 

C’est un sentiment de fierté que j’ai, parce qu’il n’est pas donné au premier venu d’être nominé comme étant un des meilleurs agents de développement. Dans la mesure où je travaille avec le PDG monsieur Touré Ahmed Bouah, c’est un honneur. En gros c’est un sentiment de fierté. 

Pensez-vous que le projet Akwaba City n’est pas une simple vue de l’esprit et est-il un projet réalisable en Côte d’Ivoire ? 

Comme on le dit, « à cœur vaillant, il n’y a rien d’impossible ». Monsieur Touré Ahmed Bouah a mis vingt ans de sa vie dans l’optique de la réalisation de ce projet. Il a mis tous les moyens et au vu de l’évolution qui caractérise le projet, nous sommes dans la phase de maturation. Tous les documents administratifs étant acquis, et les moyens financiers également en bonne voie, il n’y a donc plus aucun problème. Monsieur Touré Ahmed Bouah étant entouré de nombreuses têtes pensantes, dévouées et animées de saine émulation, il n’y a pas de raison que ce projet ne réussisse pas. Il en dépend la vie de plusieurs centaines de familles. Vu que monsieur Touré Ahmed Bouah est un jusqu’au boutiste, il n’y a pas de raison que ce projet soit voué à l’échec. Il faut aussi tenir compte du fait que nous sommes accompagnés par des partenaires de bonne foi, dévoués, engagés. Tout ceci concourt à la réussite de ce projet et même le plus désintéressé sait que ce projet augure de la mise en place de plusieurs emplois. Toute la population de la zone impactée par le projet verra ses conditions de vie améliorées. Quand on sait que cela procède au désengorgement d’Abidjan, tous les facteurs militent en faveur du succès de ce projet. Je n’ai aucun doute à ce propos. 

Des personnes ont entendu parler du projet Akwaba City, d’autres pas. Quel message pouvez-vous adresser à ce monde dont d’importants éventuels investisseurs qui attendent à travers le monde ?

A l’endroit des uns et des autres, investisseurs nationaux, comme internationaux, je lance un appel qui traduit la nécessité de concourir au développement de notre continent par le canal de Akwaba City, l’une des plus grandes opportunités d’investissements.  Personne ne le fera à notre place. Il nous appartient à nous de guider nos propres pas, d’avoir des initiatives de ce genre. Toute la lenteur qui a miné la réalisation du projet est en train d’être circonscrite à souhait. Au lieu donc de traîner les pas, il vaut mieux y investir à temps. J’invite à investir à Akwaba City, où aucun domaine d’activité ne sera à retrait. Ce nouvel espace réservera plus d’une surprise grâce à ses pôle économique, culturel et résidentiel qui seront à la pointe du développement et ce, à l’instar des grandes villes du monde par les noms desquels nous n’avons de cesse de jurer. Qui dit ville nouvelle, dit respect des résolutions du sommet d’Athènes qui stipule qu’une ville a des fonctions à savoir : celle d’y vivre, d’y travailler, d’y mener une circulation fluide, de se distraire, et de se soigner.  

Et nous préparons une ville qui répond à ces réalités. Ceci étant, nul n’a intérêt à traîner les pas. Le souhait le plus ardent de chacun, c’est de vivre des conditions de vie décentes. Nous invitons donc tout le monde à venir y investir.

Propos recueillis par ADOLPHE KOUILAHAN